La raison d'être de la clinique

 
L’Aclinique est née d’un besoin observé tant dans les grands centres urbains que dans les régions éloignées. Il s’agit d’une part, du délai d’accès à des consultations de qualité avec des professionnelles et d’autre part, de l’augmentation de la détresse psychosociale chez la population générale au Québec. À cela s'ajoute l'uniformisation du système public en place, qui limite la possibilité de recevoir une réponse adaptée et sensible à la diversité.

Les services de réadaptation psychosociaux, qu’ils soient offerts au privé, par l’État ou encore au communautaire ne réussissent pas à répondre à la demande croissante observée et exacerbée par la pandémie de Covid-19. 

Isolement, pertes d’emploi, deuil, anxiété sont autant de facteurs alimentant la pression sur les services sociaux et faisant état du malheureux constat lié à la dégradation de l’état de santé général d’une frange de la population.

 

Un système de santé public au ralenti

 Les demandes d’aides placées par une moyenne de 63% de ces personnes reçoivent une réponse dans un délai de 30 jours, laissant 36% des demandeurs sans services (ESPUM, 2018). 

Effectivement si avant la pandémie 16 000 personnes figuraient sur la liste d'attente pour des services en santé mentale, cette année, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS) rapportent qu'ils sont plus de 19 000 personnes à vivre avec des difficultés en santé mentale et à n’obtenir aucun soutien dans le réseau public (MSSS, 2022).

La raison d'être de la clinique

L’Aclinique est née d’un besoin observé tant dans les grands centres urbains que dans les régions éloignées. Il s’agit d’une part, du délai d’accès à des consultations de qualité avec des professionnelles et d’autre part, de l’augmentation de la détresse psychosociale chez la population générale au Québec. À cela s'ajoute l'uniformisation du système public en place, qui limite la possibilité de recevoir une réponse adaptée et sensible à la diversité.
Les services de réadaptation psychosociaux, qu’ils soient offerts au privé, par l’État ou encore au communautaire ne réussissent pas à répondre à la demande croissante observée et exacerbée par la pandémie de Covid-19.
Isolement, pertes d’emploi, deuil, anxiété sont autant de facteurs alimentant la pression sur les services sociaux et faisant état du malheureux constat lié à la dégradation de l’état de santé général d’une frange de la population.
 

Un système de santé public au ralenti

Les demandes d’aides placées par une moyenne de 63% de ces personnes reçoivent une réponse dans un délai de 30 jours, laissant 36% des demandeurs sans services (ESPUM, 2018). 

Effectivement si avant la pandémie 15 800 personnes figuraient sur la liste d'attente pour des services en santé mentale, cette année, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS) rapportent qu'ils sont plus de 20 000 personnes à vivre avec des difficultés en santé mentale et à n’obtenir aucun soutien dans le réseau public.

Personnes sans recours au système de santé public

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Notre mission

Destinée à compenser l’offre de services des institutions publiques au Québec, l’Aclinique souhaite offrir des consultations personnalisées aux besoins des personnes qui les sollicitent. Pour ce faire, l’Aclinique se spécialise dans l’accompagnement psychosocial des personnes adultes expérimentant des difficultés relationnelles, situationnelles ou liées aux étapes de vie, dans une perspective de bien-être.

Notre mission

Destinée à compenser l’offre de services des institutions publiques au Québec, l’Aclinique souhaite offrir des consultations personnalisées aux besoins des personnes qui les sollicitent. Pour ce faire, l’Aclinique se spécialise dans l’accompagnement psychosocial des personnes adultes expérimentant des difficultés relationnelles, situationnelles ou liées aux étapes de vie, dans une perspective de bien-être.

Nos valeurs

À l’Aclinique, nous estimons que les usagers faisant appel à nos services sont experts de leurs expériences de vie. À titre de professionnels, nous situons notre rôle dans le soutien à l’autodétermination dans le respect des valeurs et du rythme des personnes. Nous avons un profond respect pour l’humain dans sa complexité. Nous valorisons les pratiques créatives sortant du cadre parfois rigide des consultations traditionnelles, afin d’amener les personnes faisant appel à nos services à mobiliser et élargir leur pouvoir d’agir sur leurs difficultés.

Nos valeurs

À l’Aclinique, nous estimons que les usagers faisant appel à nos services sont experts de leurs expériences de vie. À titre de professionnels, nous situons notre rôle dans le soutien à l’autodétermination dans le respect des valeurs et du rythme des personnes. Nous avons un profond respect pour l’humain dans sa complexité. Nous valorisons les pratiques créatives sortant du cadre parfois rigide des consultations traditionnelles, afin d’amener les personnes faisant appel à nos services à mobiliser et élargir leur pouvoir d’agir sur leurs difficultés.

 

Expertise de l'Aclinique

 

L'Aclinique, établissement privé de santé psychosociale, a vu le jour en 2022 grâce à la vision et au dévouement de sa fondatrice, Yasmine Siagh. Formée en éducation spécialisée, en service social, et détentrice d'une maîtrise en médiation interculturelle, Yasmine a consacré plus d'une décennie à la construction de sa carrière en relation d'aide. Son parcours professionnel diversifié l'a conduite à travailler au sein de multiples milieux, notamment la communauté, les établissements de soins de santé, le milieu scolaire, les hôpitaux, et auprès d’une population adulte et aînée en gériatrie.

 

Sa sensibilité à l’égard des enjeux d'accessibilité à des services d’aide en santé mentale et sa volonté d’offrir des services inclusifs la motive à construire une équipe de praticien.nes rigoureux.ses et expérimenté.es partageant son engagement envers l’accessibilité à des soins de santé psychosociale visant le bien-être global.